Depuis quelques temps, il s’observe un climat d’insécurité intense dans la parti Est de Kinshasa précisément au quartier Kimbangu 3, dans la commune de Kalamu.
Il ne se passe pas un seul jour sans que l’on enregistre des dégâts commis par ces délinquants.
Les bagarres rangées de ces groupes dans ce coin de la capitale affectent la quiétude des paisibles citoyens. A leurs passages, ils dérobent les biens des innocents et ceux qui osent s´opposer sont souvent victimes des coups et m situation qui guette la population de ce coin ainsi que les usagers de cette tronçon.
Approché par le journaliste reporter de Afrik.info.CD, Medy Manionza, une infirmière de son Etat s’est exprimé en ce terme:
« Nous sommes dans la commune de Kalamu précisément dans la frontière qui sépare les quartiers Kimbangu 3 et yolo ezoo, Nous vivons dans l’insécurité totale, lorsqu’il y a une menace de la pluie les délinquants appelé kuluna viennent semer des troubles au quartier Kimbangu 3. À leur passage, ils ravagent toute les nourritures que nos mamans vendent. Pour conclure ses délinquants surnommés kuluna ont même créé leurs frontières que les habitants de l’autre côté ne peuvent pas traverser, si tu oses de traverser tu seras agressé à mort. »
À titre d’illustration ce corps médical affirmé que son ami a été l’un des victimes de ces délinquants appelé dorénavant « arabe » qui lui ont extorqué un smartphone ayant une valeur de 120$ et ses 50 $ américains.
« Je n’ai pas encore eu une attaque de ses délinquants surnommé kuluna mais j’ai un ami qui était victime, Il était agressé par ces délinquants surnommé kuluna ( les arabes) on lui avait volé son téléphone de 120$ marque nouveau modèle de Samsung avec 50$ » a-t-il expliqué.
Par ailleurs, il a fait appel aux autorités compétentes de s’impliquer en fond pour imposer la sécurité, d’organiser de causerie a ciel ouvert avec la population pour éviter les arrêts des innocents dans cette affaire des kuluna.
« Nous demandons au gouvernement de renforcer la sécurité, d’organiser même une audience publique avec la population pour que nous puissions dénoncer la complicité qui existe entre les délinquants surnommé kuluna et quelques éléments de la police congolaise. » A-t-il déclaré.
« Nous subissons aussi les arrestations arbitraires par la police congolaise après une rencontre de deux côtés, que le gouvernement puisse nous donner les policiers combattants qui ont les notions de l’éthique et la déontologie pour bien sécuriser les populations qui subissent les agressions à tout moment par les kulunas. » S’est-il indigné.
Caleb Makedika/ stagiaire