Le bureau provisoire de la chambre haute du parlement de la République Démocratique du Congo a rendu public mercredi 07 août , la liste provisoire des candidatures retenues pour l’élection du bureau définitif.
Au total, dix-neuf candidats ont été retenus provisoirement aux différents postes du bureau définitif du sénat.
Au perchoir, trois candidats, tous membres de l’Union sacrée pour la nation . Il s’agit notamment du sénateur Idrissa Mangala candidat du parti au pouvoir l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) , du sénateur Jean-Michel Sama Lukonde, ancien premier ministre et candidat indépendant et aussi de l’élu de l’équateur, le sénateur Jonas Mukamba.
Cependant, deux candidatures sont enregistrées pour le poste du premier vice-président à savoir : le sénateur Kalala wa Kalala et de l’ancien ministre des affaires étrangères, Christophe Lutundula, tous deux membres de la majorité présidentielle.
Au poste du deuxième vice-président, les candidatures enregistrées sont celles de l’ancien président du sénat, Modeste Bahati, de corneille Isenge et d’Eustache Muhanzi Mubembe, tous membres de l’Union sacrée.
Quatre candidatures sont enregistrées pour le poste du rapporteur. Il s’agit notamment des Sénateurs Bamanisa Saidi Jean, Kazadi Kankonde Ivan , Kalumba Mwana Ngongo Justin et de Ngudianza Bayokisa Kisula Néfertiti.
Au poste du rapporteur adjoint, poste reconnu essentiellement pour l’opposition deux candidatures sont enregistrées celles des sénateurs Jean-Claude Baende et Salomon Kalonda Della Idi .
Et au poste du Questeur, trois candidatures sont enregistrées par le bureau provisoire du sénat. Il s’agit entre autres des sénateurs Agito Amela Carole , Ekumbo Longulu Moïse et de Mukengeshayi Kabongo Sylvain.
Enfin deux candidatures sont retenues au pour le poste du Questeur Adjoint, il s’agit des senteurs Kabamba wa Umba Isabelle et de Omana Bitika Pascal ( sous réserve).
Notons que l’élection et l’installation du bureau définitif de la chambre haute du parlement sont fixées au vendredi 09 août prochain.
Joël Tshim’s
