Tout a commencé lors d’une panne technique qui aurait été survenue pendant le lavage d’un véhicule appartenant à un colonel de la garde républicaine, le véhicule avait subi un désagrément au niveau de pare-brise quelques minutes après avoir était directement conduit au près d’un mécanicien proche, le problème a été vite résolu grâce à l’appui du propriétaire de ce service de lavage rapporte quelques témoins ayant vaicu la scène, d’après le proche de ce Jeune garçon répondant au nom Mumbure héritier, après avoir payé le préjudice la victime a été conduit par des militaires vers l’aéroport de Bunia où se trouve le quartier général de la force de la garde républicaine d’où sous l’ordre du colonel la victime a reçu 300 coups de fouets après avoir été détenu illégalement.
Cette situation a créé une indignation au sein des organisations de défense de droit en ituri qui condamne cet acte qui constitue un violation des droits de l’homme, cas de réseaux des associations de droit de l’homme en ituri RADIT en sigle qualifie cet acte comme une violation des droits de l’homme caractérisée par l’enlèvement et torture de la victime.
«Nous dénonçons le cas de violations des droits de l’homme, enlèvement et torture dont monsieur Mumbere Kisomo marié et père de 4 enfants après son enlèvement il a été victime des tortures graves de plus de 300 coups de fouets en date du 30 novembre 2024 au quartier général de garde républicaine situé dans l’aceinte de l’aéroport de nyamurongo de Bunia par un colonel, pour l’instant la victime est internée dans une structure sanitaire, ainsi nous déposons la présente dénonciation à l’auditeur supérieur militaire pour une intervention judiciaire», a indiqué madame Jeanine Kabyaura Coordinatrice de l’ONG RADIT.
Pour madame Leya koso coordonnatrice de réseaux de défense des droits humains en ituri condamne cet exige une enquêtes immédiate enfin que l’auteur soit traduit en justice.
Notons que depuis l’avènement de l’état de siège en ituri et au Nord-Kivu plusieurs cas des violations des droits de l’homme ont été notifié par les organisations de défense celle-ci, notamment les arrestations arbitraires ainsi que des intimidations en cas d’une envie contraire à ce régime spécial.
Rachidi Kudra, depuis Bunia