Dans une interview accordée à la redaction d’afrik.info ce vendredi 08 novembre, Jonas Tshiomba, Coordinateur de la Nouvelle Société Civile Congolaise se pose trois questions pertinentes sur la problématique de la révision constitutionnelle.

La première s’attèle sur le chef de l’État qui fait de cette question une priorité.

« Le chef de l’État l’a dit quand il était dans l’opposition que le problème qui s’est posé au pays n’était pas un problème de la constitution mais comment brutalement cela est devenu une priorité pour l’actuel gouvernement? » S’exclame-t-il.

Sa deuxième préoccupations se base sur un probable referendum après une éventuel révision

« Si nous arrivons au cas du référendum nos frères et soeurs de Bunagana et de tous les territoires occupés pourront il participé ? » s’interroge-t-il

Est-ce qu’il ne se sentiront pas abandonné? Poursuit son questionnement.

À son avis l’intégrité territorial passe avant la révision constitutionnelle

« Il faut prendre patience que l’intégrité du pays soit totalement sécurité par après on pourra parler su problème de la constitution. » a-t-il conclu.

Caleb Makedika