Les grossesses chez les adolescentes constituent un problème que l’on rencontre dans plusieurs pays à revenu élevé, faible ou intermédiaire selon une étude.

En République Démocratique du Congo, plusieurs filles sont victimes de cette réalité et ne savent pas quoi faire pour s’en sortir de ce pétrin.

En effet c’est le constat amer fait par la rédaction de AFRIK-INFO.CD après plusieurs enquêtes.

Sophie Nkindu, sage-femme d’un hôpital de la capitale estime que les adolescentes sont confrontées à plusieurs obstacles en matière d’accès à la contraception notamment, avec l’existence des lois et de politique restrictive concernant la fourniture de moyens de contraception fondée sur l’âge où la situation de famille.

À l’en croire, les complications pendant l’accouchement et l’avortement sont les principales causes de décès pour les jeunes filles dont l’âge varie entre 15 et 18 ans dans le monde.

De son côté, Espoir Nitu, étudiant en Science infirmière à l’université de Kinshasa (UNIKIN), pense que ces grossesses sont causées par une megestion familiale et gouvernementale du point de vue éducationnel, sanitaire et social qui, faciliterait la mendicité de bon nombre de filles qui finissent par être des victimes sexuelles qui conduisent aux grossesses non-désirables.

Soulignons que, plus de 21 millions de jeunes filles âgées de 15 et 19 ans tombent enceintes chaque année dans les régions en développement et environ 12 millions d’entre elles mettent au monde.

Même si, les organisations non-gouvernementales sont souvent en premier ligne d’action pour prévenir blés grossesses précoces dans plusieurs pays, nous espérons avoir de bons résultats dans un futur proche.

Caleb Makedika/Stagiaire