Depuis son arrivée au poste de ministre délégué à la Défense chargé des Anciens combattants, Éliezer Ntambwe s’impose comme une figure réformatrice et pragmatique du gouvernement congolais. Son action, fondée sur la rigueur, la transparence et la reconnaissance du mérite, est saluée par de nombreuses familles militaires et associations d’anciens combattants.
À travers une série de mesures concrètes, il redonne dignité, visibilité et justice sociale à une catégorie longtemps marginalisée.
Restaurer la dignité des anciens combattants
L’un des axes majeurs du programme d’Éliezer Ntambwe est la reconnaissance du sacrifice des anciens combattants. Beaucoup d’entre eux, héros des guerres de libération et de défense du territoire, vivaient dans l’oubli et la précarité.
Le ministre a lancé un vaste chantier d’identification nationale des anciens combattants et de leurs familles. Cet effort vise à établir une base de données fiable pour assurer un suivi administratif, social et médical cohérent.
Cette démarche marque une rupture historique avec la gestion antérieure, souvent éclatée et peu transparente.
Récupération et valorisation du patrimoine spolié
Sous la conduite du ministre, le ministère a entrepris l’identification et la récupération des biens immobiliers et fonciers appartenant aux anciens combattants.
Pendant des années, une partie de ce patrimoine avait été perdue, occupée illégalement ou laissée à l’abandon. Aujourd’hui, un processus rigoureux est en cours pour restaurer les droits de propriété et réhabiliter les symboles matériels du service rendu à la Nation.
Cette initiative est perçue comme une action de justice mémorielle et économique : rendre aux anciens combattants ce qui leur appartient de droit.
Réformes sociales, salariales et sanitaires
Éliezer Ntambwe a également engagé un plan de revalorisation sociale et salariale des anciens combattants et de leurs familles. L’objectif est clair : améliorer leurs conditions de vie, garantir le paiement régulier des pensions et assurer un accès digne aux services sociaux de base.
Dans le domaine sanitaire, il œuvre à la réhabilitation des centres médicaux militaires et à l’extension de la couverture santé à l’ensemble des vétérans et ayants droit. Ces mesures traduisent une vision humaine et inclusive de la défense nationale, où chaque ancien combattant redevient un acteur respecté de la société.
Dialogue, mémoire et cohésion nationale
Pour Éliezer Ntambwe, la politique des anciens combattants ne se limite pas à la gestion administrative. Elle s’inscrit dans une démarche de mémoire collective et de cohésion nationale. Le ministre prône la création de mémoriaux, journées de reconnaissance et programmes éducatifs destinés à préserver l’histoire des sacrifices militaires.
Il veut que la jeunesse congolaise se souvienne des valeurs portées par ces héros : patriotisme, discipline, solidarité et engagement pour la patrie.
Une gouvernance axée sur la transparence et les résultats
L’approche d’Éliezer Ntambwe repose sur une philosophie simple : servir avec efficacité et probité. Son style de gestion, marqué par la consultation, la rigueur et le suivi des actions sur le terrain, tranche avec les pratiques bureaucratiques traditionnelles.
Cette gouvernance proactive lui vaut l’estime de nombreux partenaires institutionnels et la confiance des bénéficiaires directs de ses réformes.
Conclusion : une nouvelle ère pour les anciens combattants
Avec Éliezer Ntambwe, le ministère des Anciens combattants connaît une métamorphose profonde. Les actions engagées ne relèvent pas du symbolique, mais d’une transformation durable des politiques publiques en faveur de ceux qui ont servi la Nation.
Sous son leadership, la cause des anciens combattants cesse d’être une page oubliée de l’histoire congolaise pour devenir un pilier de la mémoire nationale et de la justice sociale.
Son engagement, à la fois politique et humain, ouvre la voie à une nouvelle ère : celle de la reconnaissance active, de la réforme durable et de la dignité retrouvée.
Analyse de Roberto Tshahe Da Cruz
