Durant trois décennies de luttes politiques, Tshisekedi et son parti l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social visait les bonheurs du peuple congolais. Dès leur accession au pouvoir politique.
Hélas, après avoir obtenu la confiance des congolais pendant deux mandats consécutifs, les échos du » peuple d’abord » ne se font plus attendre. Félix Tshisekedi Tshilombo n’a pas réussi à surmonter les défis, ni rencontrer le chemin du désir des congolais.
La politique du corbeau et le renard.
« Un bon menteur vis au dépend de ce qu’il écoute ». Au delà d’être une simple leçon morale. cet aphorisme, affirmé par l’écrivain Français, Jean de la Fontaine, est un parfait exemple pour décrire la gestion de Tshisekedi.
Le combat contre la vie chère, la création des emplois, l’instauration de paix, la défense de l’intégrité territoriale du pays, l’amélioration de standing de vie … L’instauration de l’État de droit sont là les promesses de campagne électorale pour l’actuel président de la République.
Pour exprimer sa séduction et sa confiance, les congolais ont décidé de donner leur fromage ( le pouvoir politique) au fils du sphinx de limité. Il s’en saisit, s’en exerce pour son intérêt au détriment du peuple.
Les multiples randonnées dans le monde sous prétexte de la diplomatie agissante et la recherche des investisseurs, la règne de l’impunité pour ses proches et membre de l’Union Sacrée,la gabegie financière et les détournements de fonds publics jusqu’à la satisfaction des appétits gloutons des hommes politiques proche du pouvoir.
Maintenant que le corbeau ( les congolais) ont pris conscience, Félix Tshisekedi ne veux pas restituer en toute tranquillité leur fromage ( le pouvoir), pire, il cherche à changer la constitution pour des intérêts non connus.
Par ailleurs, les acteurs politiques et sociales y voient un mécanisme de glissement ou une ouverture d’un troisième mandat.
Malgré sa puissance, Tshisekedi est loin de réussir son jackpot de changement constitutionnel, car il doit affronter les forces politiques et vivent de la nation qui se mobilisent contre son initiative.
La CENCO, l’ECIDé de Martin Fayulu, la société civile et ainsi que tant d’autres forces politiques et sociales sont déjà en alertes pour contrecarrer son initiative.
S’il joue avec le feu, en restant fidèle à sa volonté de changer la constitution, nous assisterons à une amarggeddon politique.
Ariel katenda