Plusieurs partis et plates formes politiques ne font que montrer leur position au sujet de la révision ou changement de la constitution du 18 février 2006 en cours de la RDC qui est une question entamée par le chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.
Cette fois ci, c’est le tour du parti politique Convention Démocratique du Peuple (CODEP) membre de l’Union Sacrée parti cher au député national Simon Mulamba Mputu.
Dans sa déclaration faite le samedi dernier, la CODEP réitère sa confiance et soutient le président de la République Félix Tshisekedi à la démarche du changement ou la révision de la constitution pour le bien être de la RDC qui est pleine des magouilles en défaveur de la population congolaise.
» La CODEP et son président national Simon Mulamba Mputu soutiennent la démarche du Président de la République, Chef de l’état, son Excellence Monsieur Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, qui consiste en la révision ou au changement de la constitution. La CODEP reste convaincue que cette démarche combien salutaire pour le pays vise à mettre fin aux multiples ambiguïtés contenues dans l’actuelle Loi fondamentale lesquelles constituent un grand boulevard notamment aux criminels économiques et sanguinaires à l’instar du régime Rwandais aux velléités belligérantes sans précédent « , peut-on lire dans cette déclaration faite le samedi 30 novembre 2024 à Kinshasa.
Le parti politique Convention Démocratique du Peuple (CODEP) recommande au Chef de l’état, de supprimer la chambre Haute du parlement de la RDC qui pour lui, engendre des lignes budgétaires très considérables qui peuvent aider le pays à exécuter des grands projets d’investissement ou de tout autre caractère de développement.
Le député national Simon Mulamba Mputu est co-auteur de la proposition portant la révision de l’actuelle constitution déposée au bureau de la chambre Basse en 2020 ( 3 ème législature) ensemble avec ses deux collègues députés nationaux ; Delly Sesanga et Jean Marc Mambidi. Une proposition qui avait récolté plus de 100.000 signatures au parlement et son examen pour l’adoption a été suspendu jusqu’à nouvel ordre.
Timothée Kayembe