Le premier vice-président de l’Assemblée nationale de la RDC, Jean-Claude Tshilumbayi, a pris part mardi 05 novembre à l’examen périodique universel (EPU) de la situation des droits de l’homme en République démocratique du Congo, par les États membres du conseil des droits de l’homme des Nations-Unies à Genève, en Suisse.
Dans son intervention, le numéro deux de la chambre basse du parlement congolais, a présenté les avancées significatives qu’enregistre la RDC en matière des droits de l’homme et de la protection de l’environnement.
Sa prise de parole a porté notamment sur l’éducation et l’enseignement en général, la santé, la peine de mort, la protection de l’environnement et des espèces naturelles, les droits de l’homme, le discours de haine, et à l’égalité des chances.
Réagissant aux recommandations de certains États membres sur la levée du moratoire sur la peine de mort, le premier vice-président de l’Assemblée nationale, a rassuré que la RDC est un Etat abolitionniste, la levée du moratoire est une mesure administrative et que l’assemblée nationale y travaille pour éviter les abus.
Pour l’élu de Luiza, le prétexte du discours de haine est une surenchère publicitaire des prédateurs des richesses de la RDC en vue de s’attirer la sympathie internationale dans leur entreprise d’agression et de violation de tous les principes du droit international.
En ce qui concerne le secteur éducatif et l’enseignement en RDC, Jean-Claude Tshilumbayi a relevé que beaucoup de progrès ont été réalisés sous le leadership du président de la République, Félix Tshisekedi, dans le but d’améliorer la qualité de l’enseignement de base. Dans le même ordre d’idées il a indiqué que 23 % du budget est alloué au secteur de l’enseignement pour un nombre d’enseignants multiplié par dix.
Quant à l’accès aux soins de santé, le numéro 2 de la chambre basse du parlement, a fait savoir qu’il ya cette politique généralisée de gratuité de maternité et la mise en œuvre sur toute l’étendue du territoire national et le principe de la santé universelle pour tous est en cours d’implémentation.
Sur ce qui est de la protection de l’environnement et des espèces naturelles, la lutte contre le changement climatique, c’est des principes aux la RDC tient absolument malgré les abus actuels commis par l’armée rwandaise plus précisément dans le parc de Virunga. L’État veille sur la protection d’environnement garanti par l’article 53 de la constitution.
Au sujet des droits de l’homme, Jean-Claude Tshilumbayi, a déclaré que la législation congolaise depuis l’avènement de la nouvelle Constitution, est l’une de plus révolutionnaire si pas du continent mais du monde. Les thématiques très importantes ont été développées et formalisées en loi depuis une dizaine d’année.
Quant aux égalités homme-femme, la RDC n’en souffre pas et constitue une exception.
Il sied de notre que cette session intervient quelques Semaines après l’élection de la République Démocratique du Congo comme membre du conseil des droits de l’homme des Nations unies pour le mandat 2025-2027.
Joël Tshim’s