Dans un effort pour améliorer la santé des patients touchés par Mpox, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) collabore étroitement avec le ministère de la Santé de la République Démocratique du Congo. L’objectif est de garantir un accès fiable aux médicaments et à la nourriture, éléments vitaux pour leur traitement.
Lors d’une récente visite à l’hôpital Vijana à Kinshasa, Brakafiona, gestionnaire des incidents continentaux, a partagé ses observations sur la situation actuelle.
« J’ai eu l’occasion de visiter l’un des centres de traitement ici à Kinshasa. Ce qui est frappant, c’est de voir les effets débilitants de la Mpox et ce qu’elle provoque chez les personnes infectées », a-t-elle déclaré.
Madame Fiona a souligné la douleur intense causée par les lésions, en particulier celles observées chez les femmes. « Les lésions vaginales sont extrêmement douloureuses », a-t-elle ajouté. Elle a également noté que certains patients souffrent de complications graves, comme des infections secondaires, tandis que d’autres présentent des symptômes plus légers.
Cette visite a mis en lumière l’importance cruciale de l’éducation communautaire.
« Nous devons nous engager d’avantages avec la communauté pour qu’elle comprenne cette maladie, comment se protéger et comment demander un traitement précoce », a-t-elle conclu.
L’OMS et le ministère de la Santé continuent de travailler ensemble pour sensibiliser la population et améliorer les conditions de soins pour les patients de Mpox, un enjeu de santé publique majeur dans le pays.
Caroline Kaja
